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lundi 17 octobre 2011

Bitly introduit l'e-réputation prédictive


Y-a-t-il plus rapide que le "Real Time" ? Vous avez même pris le soin de configurer vos alertes sur mobile
Et bien, vous devriez savoir que vous êtes loin de mettre la vitesse supérieure, c'est le temps qui devrait rattraper l'e-réputation et pas le contraire, en tout cas dans le "bitly world" !

En effet, Bitly, le service de réduction des Urls pour le partage sur les réseaux sociaux, nous introduit l'e-réputation prédictive.

Bitly est dans la capacité de mettre à la disposition des entreprises une plateforme de recherche et de veille sur la e-réputation grâce à l'indexation et le classement de contenu viral.
Le classement repose, en plus de de la distribution, sur un critère plutôt d'engagement qui est le clic.
Sur un mot clé, bitly affiche les résultats qui selon les prédictions de l'outil vont attirer l'attention des internautes dans les 24 heures à venir. Ce qui vous permettra d'agir plus rapidement que prévu. Les prédictions, elles, sont ajustées en temps réel en fonction des données analytiques du service.

Bitly veut rendre plus visibles les résultats qui sont susceptibles de toucher votre e-réputation avant qu'un algorithme classique de Page Rank, qui favorise les liens d'autorité, s'en rende compte.

Ce service de "e-réputation prédictive" concerne les utilisateurs de "Bitly Entreprises" et sera déployé dans les deux prochaines semaines.
Plus sur le blog de bitly 


crédit photo: planetecampus.com

mercredi 12 octobre 2011

L'avenir du partage sur les réseaux sociaux

Une infographie réalisée par Addthis révèle les habitudes de cinq ans de partage. Des habitudes aussi vielles soient-elles comme partager en copiant/collant une url au lieu d'utiliser des outils de partage (comme les boutons) pourraient vous surprendre.
Je souhaiterai toutefois m'arrêter sur les plateformes /outils sociaux qui pourraient constituer l'avenir du partage:
-Facebook, via le bouton send
-Tumblr,
-le bouton Google +1,
-PingFm,
-Linkedin

Toute l'infographie via le blog d'addthis





vendredi 30 septembre 2011

Onglet Facebook: comment contourner l'obligation SSL ?

Si vous avez raté les news social media de cette semaine, le moins que l'on puisse dire que c'était la course contre facebook.
La communauté des "community managers", et web 2.0 en général, essaye de décrypter les intentions du mastodonte des réseaux sociaux après sa conférence F8 où les pages ont été oubliées.
La baisse de la visibilité des posts de fan pages dans les news feed et du taux d'engagement pour certaines pages, laisse croire que facebook a déclaré sa guerre aux community managers.
Facebook souhaite encore plus compliquer nos vies en interdisant les applications non sécurisées dès le 1 er octobre. Pour contourner l'obligation du certificat SSL, My Community Manager nous propose "Iframe apps
Sauf si vous insistez sur la personnalisation de l'icône de votre tab lors de la "migration" ou la création, pour le 1 er octobre et après, je vous propose à mon tour l'application "Static Iframe tab" en suivant ces instructions, et ça marche !
Quand Facebook nous tape sur les nerfs, on peut toujours faire un tour sur Google+ pour changer d'air. Retrouvez-moi sur

samedi 16 juillet 2011

Evaluer votre community management

ça fait un moment que je publie des articles sur le community management, parce que et surtout je me suis engagée à écrire des billets qui seront inspirés de mes expériences pratiques, et là j'occupe le poste de webmarketeur, community & e-reputation manager, en Tunisie.

Dernièrement, j'ai été invitée par Matthieu Tranvan pour rédiger un Guest Post sur son blog "Business, Webmarketing et Management".

Donc, j'aimerai bien vous orienter vers ce post "Community Management: la réussite à travers l’image perçue" dans lequel je mets en relief l'importance de l'évaluation qualitative dans le community management, notamment à travers l'image perçue. Voilà c'était ma récente publication, pour vous mettre au courant et en profiter à votre tour :)

Bonne lecture sur le blog de Matthieu

mardi 17 mai 2011

Community managers, vous êtes demandé(e)s aux urgences

Veiller sur ce qui se dit sur une marque, produit, nécessite des outils d'écoute.Et, pour améliorer le temps de réactivité, vous aurez besoin d'outils en temps réel. Quand on vous bipe docteur, pardon community manager, vous devriez répondre à l'appel, c'est urgent !
Lorsqu'il est loin de son ordinateur et ses dashboards, le community manager devrait se placer dans ce contexte d'urgence, sans se stresser pour autant, en optant pour une application mobile qui le notifie à chaque mention ou message direct. Pour ce faire, il y a par exemple l'application mobile Tweetcaster qui vous permet, au delà d'envoyer des tweets, de configurer des alertes par rapport aux mentions et DMs. L'avantage aussi avec Tweetcaster, c'est qu'elle supporte plusieurs comptes twitter.
Avec l'application Gmail (Android), encore recevez vos alertes google habituelles. Par contre, j'aurais personnellement apprécié une application mobile de la part d'alerti, la solution web pour une veille d'e-réputation, ou aussi de la part d'hyperalerts qui permet de recevoir des alertes des commentaires et posts sur fan page, ou même de netvibes (ça aide à transformer les alertes google en dashboards). 

A noter que pour alerti et hyperalerts, les alertes restent accessibles via l'application e-mail de votre mobile, au même titre que pour les alertes google.
Une fois bipé(e), vous allez ensuite juger du degré d'urgence et des moyens dont vous devriez disposer pour réagir, est ce qu'il suffit d'utiliser hootsuite mobile pour y répondre sur votre page facebook et profil twitter, ou 
plutôt  allez vous courir vers votre ordinateur pour mieux gérer la situation sur grand écran :) ? Aucun ordinateur à votre portée en ce moment là, utilisez l'application mobile de skype pour communiquer avec un collaborateur et faire une délégation.
Si vous avez d'autres outils de veille d'e-réputation mobile, n'hésitez pas à les partager en commentaire.
Mise à jour: l'application alerti pour iphone est disponible, lire plus ici

lundi 25 avril 2011

Osez créer votre podcast

Salut, j'espère que vous démarrez bien votre semaine.
J'ai un petit message pour vous aujourd'hui : "Ne vous laissez pas intimider par la technologie",  lorsqu'il s'agit de créer votre podcast. 
En fait, ce billet, où je vais partager les outils que j'utilise pour mon podcast 93ida-webmarketing, m'a été soufflé par mon ami Khalil Gdoura de tounsia4ever.com, lors d'une rencontre webmarketing informelle.

Khalil est un fan du podcast @93idawebmkg et il veut se lancer dans l'expérience. Oui ça se passe ainsi, on est d'abord fan d'autres podcasts, la passion est très vite transmise de l'animateur à l'auditeur...et, voilà un nouveau podcast est créé.

Il faudrait savoir que 93ida-webmarketing adopte la forme d'interview audio (à distance), avec des professionnels du webmarketing pour être plus précise. Les moyens à déployer gratuitement et dont je vais vous parler iront plutôt ensemble avec cette forme de podcast et ils peuvent être répartis en 4 catégories :

-Passion : par défaut :), un atout incontournable pour concrétiser tout projet de création !
-Hardware : PC ou Laptop , casque avec micro (privilégier le micro avec éponge).
-Software
  • Skype, pour contacter votre invité et effectuer l'interview, 
  • call graph (windows XP et +), pour enregistrer l'interview,
  • audacity, pour le montage, notamment si vous voulez ajouter une musique intro rendez-vous par exemple sur http://www.accelerated-ideas.com/FreeMusicTracks/ 
  • Talkshoe ou slidecast de slideshare pour héberger votre interview,
  • Blogger ou autre plateforme de blogging pour ajouter du texte afin de mieux optimiser le podcast pour les moteurs de recherche, ajouter un transcript, etc.
Comme je vous ai dit, toute à l'heure, ne vous laissez pas intimider par toutes ces technologies. Avec quelques manipulations, vous aller y arriver.

-Réseau : ce n'est pas un moyen, mais plutôt un privilège ! Cherchez l'inspiration du côté de vos contacts facebook, Twitter, Linkedin, de votre réseau de veille...chaque tweet, statut, article de blog, note facebook est une occasion d'une vraie rencontre avec des professionnels de votre métier et une opportunité en vue de concrétiser une interview intéressante. 
Avant de contacter votre invité potentiel, c'est important de bien cerner son profil, parcours, piocher dans ses traveaux et préparer des questions intéressantes qui l'aideront à se sentir en train d'apporter de la valeur. Rappelez-vous que l'interview est faite pour l'audience, alors profitez de la générosité et  de la passion de votre invité pour poser des questions petinentes. 
Aussi, laissez votre invité vous suggérer des questions à son tour ou donner une forme particulière à votre interview pour la rendre plus intéressante. Je me rappelle quand Frédéric Canevet est venu spontanément avec des slides lors de notre interview, ce qui m'a incité à faire un slidecast et j'étais très heureuse par cette bonne surprise. Alors, laissez vos invités vous surprendre aussi !

Là je suis en train de vous relayer mon expérience telle que je l'ai vécue, mais vous pouvez imaginer d'autres scénarios, comme réaliser une interview vidéo, un Webinar, engager l'audience via twitter lors de l'interview...

Avant de clôturer, je tiens à remercier Sylvain Guéguen du blog Akostic.com qui m'a beaucoup soutenu dans ma première interview avec lui, et tous les invités qui m'ont fait l'honneur d'y passer.
Vous pouvez découvrir davantage sur 93ida-webmarketing, et pour les habitués, je viens de changer le thème blogger, donc vous ne vous trompez pas ;) sinon n'oubliez pas de cliquer "j'aime" une fois atterri(e) sur le site du podcast, bien sure si vous en êtes convaincu(e).

MERCI et bonne journée :)



lundi 14 mars 2011

Search et social vers une réconciliation

Si certaines mesures comme le nombre de visites mettent le Search et le social dans une logique de concurrence du genre « Facebook vs. Google », le comportement du consommateur, avoir un contenu pertinent et la recommandation sociale réconcilient les deux.

Une étude du GroupM a révélé que 48 % des cyber-consommateurs combinent le serach et le social dans leur processus d’achat, contre 51% qui utilisent le search uniquement.

Si Bing s’associe avec Facebook et Google avec Twitter pour afficher des résultats de votre graphe social, sous-forme de recommandations, Wajam a l’ambition d’être plus holistique et compatible avec le plus grand nombre de moteurs de recherche, jusqu’à « Amazon ».


Finalement, le social est un critère SEO qui gagnera certainement de plus en plus de poids.

dimanche 6 février 2011

Community management, mais quel style de management ?

Dans "community management", il y a la "community" et il y a le "management"; littéralement, pour la première partie je ne suis pas d'accord qu'il soit un management de la communauté et c'est important de comprendre pourquoi en vue de bien définir le style du management qu'il conviendrait d'adopter.


"Le community management" n'est pas une gestion de communauté 
Je m'explique : les gourous américains de l'Affiliation Web l'ont bien vu lorsqu'ils ont exprimé leur désaccord sur l'appellation "Affiliate manager" qui désigne, en Français, un gestionnaire de programme d'affiliation, parce que tout simplement les affiliés sont ingérables. Le rapport entre l'affiliation Web et le community management est bien simple, dans l'affiliation on a une communauté d'affiliés :) .
Sérieusement, je trouve plutôt pertinent de parler de gestion de dynamique de communauté ou des relations entre la marque et les membres de la communauté, en l'occurrence, entre les membres de la communauté même, que de parler de "gestion de communauté" tout court...parce que la communauté comme pour celle des affiliés est de nature ingérable !

Le community management interne est vitale pour le community management externe 
Ok, c'est là où vous désignez un community manager pour développer, sur des espaces prédéfinis, animer et faire vivre votre communauté cible (externe). Mais, est-ce que votre community manager (interne) sait que chacun de ses collaborateurs (interne) peut-être représentatif de la communauté externe et que ce dernier a des avis à donner, qu'il peut jouer le rôle de curator pour l'aider dans la création de contenu, qu'il est un véritable outil de veille humain... ?
Si, oui, peut-il par sa personnalité, sa relation avec ses collaborateurs, les influencer à prendre part dans le "community management" externe ?
Bref, votre community manager peut-il mener des actions de community management interne pour réussir un community management externe ?

Le community management est un management participatif

1. Pour la communauté interne
Si le community management interne est aussi vitale pour réussir un community management externe, alors avez-vous mis en place la structure nécessaire pour faciliter la circulation de l'information entre les collaborateurs et sa remontée aux community managers ?
Si un community manager souhaite réellement impliquer ses collègues de différents départements, il peut partager rapidement ses projets avec eux, même au tour du déjeuner, par la suite tout dépend de sa capacité à rendre les choses intéressantes à leurs yeux pour qu'ils participent spontanément dans des activités de monitoring, d'animation avec leurs profils personnels (partage facebook, retweet, commentaire, etc.) ou même de consulting et brainstorming en partageant leurs avis.
Au final, comme le "community manager" devrait être à l'écoute de la communauté externe, il doit être aussi à l'écoute de la communauté interne!
Ecouter ses collaborateurs permet au community manager de renouveler ses idées et parfois de lui éviter des bévues surtout lorsque ça relève de l'expertise. Il doit toujours se tourner vers les bonnes personnes et être le pont entre les experts et la communauté.
Récompenser la communauté interne est important surtout lorsqu’il s’agit d’un travail volontaire, et attention à ne pas sanctionner ou discriminer ceux qui n'ont pas participé, car au final tout est motivé par l'intérêt.

2. Pour la communauté externe
Adopter un management participatif avec sa communauté externe inscrit l'entreprise dans une démarche de co-création quelle soit de contenu ou de produit.

Les relations doivent être au cœur du community management 

C’est pourquoi je préfère parler de « Community Relationship Management » que de « Community Management » tout court. En effet, une étude américaine, citée par le magazine « Psychologies » dans son numéro de février 2011, montre que l’intelligence du groupe ne dépend pas de celle des individus qui le composent, mais de leurs capacités à se parler, leur aptitude à comprendre les autres ou leur sensibilité sociale.
Un dispositif de management participatif doit être mis en place pour accroître cette sensibilité sociale au sein de la communauté.
De plus, l’étude sus citée montre que l’intelligence collective devient accrue dans des groupes où il y a des femmes.

Un management participatif, mais jusqu'à quel point ?

Pouvoir impliquer plusieurs collaborateurs dans l'activité de community management est intéressant dans la mesure où ça favorise la créativité, le partage et on peut avoir plus de renfort pour la veille.
Pour que ça soit efficace, des guidelines sont les bienvenus, notamment, pour les prises de position.

 Mot de la fin 

Ce billet est un ensemble de constats qui ont muri au fil de mes observations pratiques dans le rôle de « community manager », vous pouvez les prendre pour des hypothèses, les remettre en question ou enrichir par vos propres expériences. Donc, je vous invite à faire des commentaires pour partager vos avis à haute voix.
Finalment, je dois remercier mes collègues qui m’ont aidé par leur sensibilité sociale à écrire ces lignes et vous lecteurs et lectrices d’avoir pris le temps de les lire. @+ ;)

Crédit photo http://johnfmoore.files.wordpress.com